Au départ, Human Rights Watch (HRW) était une organisation non gouvernementale internationale qui se donnait pour mission les droits humains concernant les domaines politique, économique et social dans différents pays.
Aujourd’hui, l’organisation est critiquée quant à son indépendance et la façon dont elle mène certaines missions, ses rapports sont souvent repris par des organismes et des médias ombreux.
HRW utilise actuellement des méthodes dissimulées en se focalisant sur des pays ou des Etats émergents en Afrique, au Moyen orient et en Asie, pour nuire à leur stabilité.
Tout acte ou faits divers sont amplifiés pour décrédibiliser les instances et les systèmes judiciaires dans ces pays.
HRW crée l’amalgame entre le droit international, le droit constitutionnel, le droit commun et le droit pénal. Elle mixe l’activisme, le subversif et le terrorisme.
A dessein, elle ne fait pas la distinction entre le blanchiment d’argent, l’espionnage, le viol et les agressions sexuelles, et même la traite d’êtres humains.
Ses allégations ont probablement pour but de faire chanter ou de plier des responsables politiques ou économiques.
Human Rights Watch qui brasse des millions de dollars de dons obscurs, n’a pas pu soudoyer certaines personnes qui vivaient en exil pour leurs idées idéalistes.
Dans une tribune désormais célèbre publiée le 19 octobre 2009 dans les pages du New York Times, Bernstein fustigeait les dirigeants de Human Rights Watch pour avoir dévoyé la mission première qu’il avait imaginé pour l’organisation qu’il a dirigée pendant 20 ans et ce en pleine guerre froide. Robert L. Bernstein est mort en 2019 à l’âge de 96 ans, non sans rendre la tâche plus ardue aux dirigeants de HRW, qualifiant l’association de « morally bankrupt ».