La décision, prise vendredi à Paris, par le Groupe d’Action Financière (GAFI) de retirer le Maroc de la liste grise, consacre le leadership régional et continental du Royaume en matière de bonne gouvernance financière et sonne, par ricochet, comme un revers cinglant aux lobbys actifs au sein du Parlement Européen contre le Royaume.
Cette nouvelle victoire du Maroc, actée par le GAFI après évaluation de la conformité du dispositif national avec les normes internationales de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, constitue aussi une réponse sans équivoque à ceux qui n’arrivent pas à admettre les progrès réalisés par le Maroc, dans un environnement régional enlisé dans les pratiques anachroniques.
Fait révélateur, l’Afrique du Sud, soutien inconditionnel du polisario, le mouvement séparatiste soutenu par l’Algérie, a été intégré par le GAFI dans la liste grise qui renforce la surveillance sur ce pays en matière de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme.
À Paris, cette consécration du Maroc décidée par le GAFI, est également une nouvelle embarrassante pour des médias français qui ont fait du Maroc bashing une ligne de conduite éditoriale, au service de groupes de pression et au service de desseins occultes.
Ainsi, après une succession de performances économiques, de bonne gouvernance et de succès diplomatiques obtenus grâce à la clairvoyance du Roi Mohammed VI, la démarche stratégique du Maroc reçoit la consécration d’une instance internationale de référence, tout en enfonçant dans plus de dépit les esprits hargneux.