Les plaintes des victimes du sanguinaire Brahim Ghali affluent sur les tribunaux espagnols

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Les victimes des tortionnaires du Polisario profitent de la présence du chef du front séparatiste sahraoui, Brahim Ghali sur le sol espagnol, où il se fait soigné contre le covid-19, pour rééditer leurs plaintes auprès des tribunaux espagnols pour les crimes crapuleux, viols, tortures, violations des droits de l’homme qu’elles ont subis dans les geôles des camps de Tindouf en territoire algérien.

Parmi ces plaignants ont retient notamment  l’association sahraouie de défense des droits de l’homme ASADEDH, dont les avocats ont déposé ce jeudi, une plainte pour la réactivation du mandat d’arrêt européen émis à l’encontre de chef du Polisario, par l’Audience Nationale, la plus haute cour pénale du Royaume ibérique.

La défense des victimes réclame le déclenchement de l’action publique et une coopération accrue de la police espagnole pour procéder à l’interrogatoire du dénommé Brahim Ghali, alias Mohamed Benbatouche, puis à son incarcération conformément au mandat d’arrêt européen dont il fait l’objet.

Justement pour éviter l’arrestation et le jugement du tortionnaire de Tindouf, les autorités algériennes sont conclu un deal avec le chef de l’exécutif espagnol pour que soit épargné le chef des séparatistes avant son admission dans un hôpital de la ville de Logrono au nord de l’Espagne où il a été évacué d’urgence muni d’un passeport diplomatique algérien sous la fausse identité de Mohamed Benbatouch.

Le gouvernement espagnol a confirmé, jeudi soir, que Brahim Ghali a été transféré en Espagne «pour des raisons strictement humanitaires afin de recevoir une assistance médicale», rapportent l’agence de presse Europapress et le journal La Vanguardia.

Le journal La Rioja a précisé de son côté, que Brahim Ghali a été admis dimanche dernier, à l’unité des soins intensifs de l’hôpital San Pedro à Logrono, où il a été transféré par ambulance de Saragosse, après son débarquement d’un avion Gulfstream médicalisé, mis à sa disposition par le président algérien Abdelmadjid Tebboune sur instructions du Chef d’Etat-major de l’armée algérienne, le général Saïd Chengriha qui veille personnellement à la sécurité de l’enfant gâté Brahim Ghali.

En attendant le sort que réserve l’avenir à ce dernier à savoir la mort par coronavirus ou la prison pour les graves crimes qu’il avait commis, Chengriha et son staff militaire s’activent déjà à lui trouver un remplaçant au cas où !!!