Vingt-sept ans après l’attentat contre la mutuelle israélite de Buenos Aires (AMIA), la communauté juive a demandé que l’affaire soit jugée « en urgence » et a mis en cause « l’inefficacité et l’indifférence » de l’Etat argentin.
Lors de la commémoration de cet anniversaire, AMIA a demandé une nouvelle fois que l’affaire soit confiée à un juge « en urgence ».
Cet attentat avait fait 85 morts et plus de 300 blessés en 1994.
Selon le président d’AMIA, « ce sont les pouvoirs de l’État, et non les victimes, qui sont responsables des réseaux d’inefficacité, de corruption et de dissimulation qui nous empêchent d’accéder à la justice ».