Les dirigeants algériens tous grades confondus ne cachent plus leur hostilité au Maroc et à son intégrité territoriale, comme ils le faisaient avant en confiant cette sale besogne aux tortionnaires du Polisario.
Après avoir épuisé toutes les cartes du jeu diplomatico-politique, Les dirigeants d’Alger suivent à présent, les consignes du chef de la diplomatie algérienne, Sabri Boukadoum qui avait sommé en février dernier, les universitaires à mener campagne durant leurs missions à l’étranger contre les cartes géographiques du Maroc incluant son Sahara Occidental.
C’est dans ce contexte que le directeur général algérien des douanes s’est retiré d’une réunion virtuelle, organisée à Rabat, par les directeurs des douanes de l’Afrique du nord et du Proche-Orient.
Ce responsable protestait contre, des cartes du royaume incluant le Sahara qui étaient accrochées aux murs de la salle où se tenait ladite réunion, exigeant leur retrait immédiat.
Mais comme sa requête jugée «farfelue et mal placée», a été ignorée par les participants, le patron de la douane algérienne a plié ses bagages et s’est retiré de la rencontre.
Après les retentissants échecs essuyés sur le champ de bataille diplomatique autour du Sahara marocain, Boukadoum et ses suppléants font feu de tout bois en s’accrochant à n’importe quoi pour s’attaquer au Maroc, à ses institutions sacrées et à ses droits légitimes.
Fini donc, les slogans d’une soi-disant neutralité de l’Algérie et de statut d’observateur dans ce vieux conflit territorial crée de toutes pièces dans les années 70, par le régime du défunt président algérien, Houari Boumediène en complicité avec le colonel libyen Mouammar Kadhafi.
In fine, en dépit des allégations de ses dirigeants, l’Algérie ne peut plus nier d’être bel et bien une partie prenante dans ce conflit et constitue même la pièce maitresse de ce puzzle et ce n’est d’ailleurs plus un secret pour la communauté internationale.
Faut-il rappeler que c’est justement cette fourberie démagogique du régime algérien qui explique l’engouement des Etats à ouvrir des représentations diplomatiques dans l’une des provinces du Sahara marocain, Laâyoune ou Dakhla et c’est aussi ce qui explique le relâchement de l’ONU dans le traitement de ce dossier et le retard pris dans la désignation d’un nouvel envoyé personnel de son Secrétaire Général au Sahara.